Exodus
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
-20%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, 144 Hz, FreeSync ...
399 € 499 €
Voir le deal

Partagez
 

 Une main de fer dans un gant de velours, (sarina)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
avatar
Invité

Une main de fer dans un gant de velours, (sarina) Empty
Message# Sujet: Une main de fer dans un gant de velours, (sarina)   Une main de fer dans un gant de velours, (sarina) EmptyJeu 15 Mar - 14:51

Sarina


Femme de poigne
Irritable
Stratège
Oratrice
Ambitieuse

Caractère et Physique


Les apparences sont souvent trompeuses, dit-on. C’est le cas pour Sarina. Sous ce doux visage se cache une véritable femme de caractère. Comme son père avant elle, elle possède tous les traits d’un leader. Que ce soit sur son trône à Menethíl ou à la barre de son navire, Sarina ordonne ses hommes d’une main de fer. Il vaut mieux respecter sa loi à la lettre et suivre ses plans, dans le cas inverse, vous ne donnerez pas cher de votre peau. Susceptible et facilement prise d’excès de colère, vous mettre en travers de son chemin est la dernière chose que vous voulez faire. Elle perd facilement patience et préfère prendre les devants elle-même pour s’assurer que la tâche soit menée à bien.

Sarina est ambitieuse, déterminée et ne recule devant rien. Elle a réussi à faire sortir son père des geôles où il était prisonnier avec son équipage, piéger son mari qui complotait contre sa famille pour ainsi prendre sa place en tant que gouverneure de Menethíl. La femme pirate possède des qualités d’oratrice très exceptionnelles et ne va pas par quatre chemins lorsqu’il s’agit de faire entendre sa voix. Elle a gagné le soutien d’un bon nombre de partisans non seulement pour son éloquence mais aussi pour son intelligence et son esprit stratège. Nombreux sont ceux qui ont perdu la vie en essayant de renverser son pouvoir.

Elle ne porte aucun jugement sur les hommes, puisque son père était un homme bon. De plus, Sarina n’offre également aucun traitement de faveur envers les femmes et les considère égales au sexe opposé. C’est le genre de mentalité qu’elle essaie de promouvoir au sein de son clan, son code n’inclut évidemment pas d’interdiction aux femmes à bord de ses navires, étant une femme elle-même. Elle reconnait cependant par expérience que grandir en étant du sexe féminin n’est pas toujours facile dans la société actuelle et que tout le monde devrait avoir sa chance de gagner le respect de ses pairs.

La gouverneure de Menethíl est aussi mère de deux enfants. Les rares fois où elle fait preuve de patience, c’est bien lorsqu’il s’agit de s’occuper d’eux. Depuis qu’ils sont venus au monde, Sarina s’est légèrement retirée du champ de bataille et en particularité des mers pour se focaliser à la fois sur la politique et sur son rôle de mère. Elle souhaitait être plus disponible pour ses enfants et les laisse rarement seul. Ils l’accompagnent lors de ses déplacements et il arrive parfois qu’elle confie la garde à son bras droit et à leur oncle, Sandor. Elle compte également sur cet homme de confiance pour leur transmettre les valeurs et les compétences d’un respectueux pirate. Gare à ceux ou à celles qui voudront faire du mal à sa famille, lorsqu’elle flaire une menace, Sarina peut se comporter telle une vraie lionne.

À propos de combattivité, Sarina manie le sabre d’abordage depuis son plus jeune âge et en a conservé une excellente maîtrise. Celle-ci constitue d’ailleurs son arme de prédilection. Dans son holster repose un pistolet à silex dont elle se sert à longue portée. Elle pratique le tir depuis quelques années et sait généralement se servir des armes à feu à poudre ainsi que de l’artillerie. Elle a également dissimulé une dague à l’intérieur de sa botte qui lui sert d’arme de dernier recours. Enfin, son génie réside tout de même dans la navigation, un talent qui a été transmis de père en fille.




| 40 ans – Clan des eaux (Orcitàn) – Gouverneure de Menethíl |



Mon histoire :




Sous le ciel obscur et le tonnerre assourdissant, l’équipage s’affairait sur le pont. « Tout le monde à son poste ! Le destin de Menethíl est entre nos mains ! », s’écria le capitaine Elias. À l’horizon, Un vaisseau escorté par une dizaine de frégates se dirigeait tout droit vers la ville. Les vaisseaux de la marine s’alignèrent pour ne former qu’une et seule rempart face à l’envahisseur. « Feu ! », ordonna le capitaine du navire, pointant l’ennemi du bout de son sabre. Aussitôt, les tireurs des canons de sabord s’exécutèrent. Une odeur de poudre noire fut aussitôt perceptible dans l’air, chatouillant les narines de chaque marin. La destruction de la proue des navires ennemis ralentissait grandement leur progression. Des pirates abandonnèrent leurs navires pour se jeter à l’eau avant d’être englouti sous les violentes vagues salées, certains restèrent à bord et furent dévorés par les flammes provoquées par les bombes incendiaires. Le vaisseau principal ennemi semblait s’être finalement désisté et faisait désormais demi-tour. « Il est temps d’en finir. Charge ! ». Les voiles des navires furent hissées une par une et les derniers assaillants furent poursuivis et facilement rattrapés par les marins. Dans un élan de désespoir, les pirates dont le vaisseau n’était plus en état de naviguer lancèrent un abordage décisif sur le navire du capitaine pour tenter de se l’approprier. Il s’ensuivit un féroce combat dont le dénouement final fut favorable aux corsaires. D’un geste habile du sabre, Elias se fendit vers le capitaine pirate pour le transpercer de sa lame. Tout autour, l’ennemi commençait à rendre les armes sous les cris victorieux de l’équipage. Les dernières lueurs du soleil traversaient les nuages gris, éclairant les hommes couverts de sang. « Capitaine ! Capitaine ! s’écria l’un des officiers du navire, c’est votre femme ! Elle est sur le point d’accoucher ! ». Le futur père rangea son sabre d’abordage dans son fourreau puis rejoignit sa cabine à toute vitesse. Une femme à la chevelure dorée et aux traits doux était allongée sur un gigantesque et confortable lit, la grimace sur son visage laissait deviner qu’elle était en moment même prise de violentes contractions. Le médecin du navire se tenait à ses côtés pour la guider dans sa respiration et dans la poussée. Finalement, les jambes du nouveau-né apparurent, « C’est une fille », dit le médecin. Puis ce fut le corps entier qui fut expulsé du ventre de la jeune mère sous le sourire d’Elias. Ce dernier prit l’enfant dans ses bras pour le remettre dans ceux de sa mère une fois le cordon ombilical coupée. Aussi surprenant soit-il, l’enfant ne pleurait pas. « Sarina », prononça-elle dans un dernier souffle. Ce jour-ci, une vie avait été donnée, une autre avait été prise.

Et c’est ainsi que celle qui allait un jour devenir la gouverneure de Menethíl naquit. Sarina grandit sous l’œil bienveillant de son père. C’est à l’âge de ses quinze ans qu’elle passa le rite du passage à l’âge adulte. Armée d’une lance, elle grimpa sur le plus haut mât du navire d’Elias et sous les yeux de tout l’équipage, elle transperça de son fer emmanché un gigantesque espadon qu’ils cuisinèrent le soir même. Il n’est pas exagéré de dire qu’elle a toujours vécu sur un navire, ni de dire qu’elle tient un gouvernail entre ses mains depuis ses dix ans. Son père, Elias, lui enseigna strictement tout sur la navigation : l’observation des astres, la manipulation de l’artillerie navale, la gestion d’un équipage et bien d’autres choses utiles à ce domaine. Comme lui, elle posséderait un jour la perception, le coup d’œil et l’habileté aux commandements du maniement de plusieurs milliers de mètres carrés de voilure, même dans les conditions les plus difficiles. Lorsqu’elle succéda à son père, l’on dit même que son doigté, dont dépendait la préservation de la santé physique et morale de centaines d’individus à bord, était supérieur à ce dernier et qu’il rendait son commandement unique. Quant à l'intelligence tactique et au flair nécessaires à la bonne compréhension d'instructions incomplètes ou au déchiffrage de signaux désordonnés, ils étaient tous deux innés chez la jeune fille du capitaine. Ses qualités physiques, intellectuelles et morales faisaient d’elle une navigatrice et un leader hors du commun. Mais ses compétences et ses connaissances ne s’arrêtaient pas à l’art de la navigation, bien que celui-ci constituait son domaine de prédilection. La belle savait se servir du sabre d’abordage et utiliser les armes à poudre, témoin de nombreuses batailles navales sous le commandement de son père, elle avait fait couler le sang d’un bon nombre de ses ennemis. Ses alliés quant à eux, se comptaient sur les doigts de la main. Parmi eux, Sandor, fils de pirate recueilli par le capitaine Elias à la mort de ses parents, était devenu pour elle comme un petit frère. Les deux étaient inséparables, ils avaient appris, vécu, vaincu sous le même toit pendant plus d’une dizaine d’années. Et cela, jusqu’au jour où le dieu Océan décida de les séparer.

Une menace se profilait à l’horizon. Ce n’était non pas les créatures qui se tapissaient six pieds sous l’eau, ni les pirates qui étaient devenus bien trop communs au fil du temps, mais la convoitise malsaine d’un politicien. Il se révélait que l’homme en question n’était nul autre que le gouverneur de Menethíl, une figure puissante, autoritaire et cruelle. Ce dernier employa des moyens colossaux pour arriver à ses fins lorsqu’Elias, le père de Sarina, refusa instantanément de lui livrer sa fille. Le fidèle capitaine, qui avait passé une trentaine d’années au service du gouvernement de Menethíl, défendu de toute ses forces et de toute son âme le territoire Orcitàn contre les clans ennemis et les pirates, se retrouvait du jour au lendemain hors-la-loi lui-même. La famille fut aussitôt poursuivie par les corsaires du clan et par les pirates intéressés par la prime placée sur la tête de Sarina. N’ayant plus aucun endroit sûr où se ressourcer, le navire finit par manquer de vivre, et une mutinerie éclata à bord, débouchant sur la capture totale du vaisseau. Peu de temps après, le capitaine Elias et son équipage furent livrés au gouverneur de Menethíl et ils furent ensuite condamnés à croupir dans les cachots de la ville jusqu’à la fin de leurs jours. Quant à Sarina, elle fut contrainte d’être mariée au gouverneur. C’est alors que dix années de misère débutèrent. Dix douloureuses années passées auprès d’un tyran, à céder à ses crises de mégalomanie, à coucher dans le même lit, à ne plus être que l’ombre de soi-même. Cet homme arracha à Sarina tout ce qu’elle avait de plus précieux, à commencer par sa famille, sa passion pour l’océan, son innocence, y compris son premier baiser et sa première fois. Elle avait tenté de l’aimer par désespoir, pour rendre sa condition meilleure, en vain. La jeune femme n’éprouvait rien pour cet homme qui ne valait pas plus qu’une coquille vide. Il y eut un temps, il voulut Sarina, il l’eut. Il désira ensuite des enfants, il les eu. Comme Sarina auparavant, il s’en désintéressa. Rien au monde ne pouvait assouvir sa satisfaction. Elle mit tout d’abord au monde sa fille, Kolga, mais l’homme souhaitait un garçon pour évincer son premier fils de son héritage, alors naquit son petit garçon Aegir, destiné à hériter le trône. Le gouverneur était en effet veuf car la naissance de son unique fils, Mélénas avait mis fin à la vie de son ancienne épouse. Sarina trouva en Mélénas un précieux allié, un confident. Les deux s’étaient également rapprochés parce qu’ils possédaient de nombreux points communs telles que la mort de leur mère à leur naissance et la haine pour le même individu dont ils partageaient le quotidien. Le temps défilait et Sarina, qui s’était à présent consacrée entièrement à son rôle de mère pendant les premières années de son mariage, s’intéressa de plus près à la politique. Associant ses qualités intellectuelles et orales au monde politique d’Orcitàn, elle découvrit en elle des talents cachés pour cette science qui lui était jusqu’à présent inconnue. Parvenant à gagner une respectable réputation, elle rassembla dans l’ombre et dans son camp, de nombreux partisans venant de tout horizon. Le jour vint où l’influence grandissante de Sarina surpassa celle de son époux. Alors que ses sympathisants lui faisaient pression pour se débarrasser du despote et lui prendre sa place, Sarina refusa de céder à la violence. À la place, elle envoya Mélénas se procurer un puissant poison auprès des Rajàhor avec lesquelles Orcitàn avait signé plusieurs traités commerciaux. Et lorsque le moment fut venu, elle ordonna à l’un de ses fidèles servants de le verser dans sa favorite coupe en argent dans laquelle il avait l’habitude de boire. Le gouverneur tomba raide mort, du moins, on l’aurait cru. Son cœur avait cessé de battre et sa respiration s’était arrêtée le temps que le médecin établisse son diagnostic et que les conseillers et le grand magistrat témoignent de sa mort. La raison officielle de son décès fut un arrêt cardiaque foudroyant. La nouvelle se répandit dans tout le Royaume, certains pleurèrent de joie, d’autres râlaient. Quelques heures plus tard, un corps fut placé dans une embarcation flottante digne de sa grandeur, puis une flèche enflammée l’embrasa.

La nuit suivant les funérailles, la veuve quitta discrètement sa demeure et se glissa sur le navire de son père, qui était passé aux mains de Sandor après sa mort. Les hommes à bord qu’elle avait libéré la saluèrent respectueusement, avant d’amener devant elle, un visage familier : son mari, en chair et en os. Le maigre homme à l’œil au beurre noir fut ligoté, bâillonné, ses tendons d’Achilles sectionnés puis il fut jeté à la mer en guise de pâture aux ichtyosaures. « Le gouverneur n’est plus », se réjouit-elle. Elle enlaça fortement son frère de cœur, qui lui proposa de rester à bord et de parcourir les mers en quête de gloire à ses côtés. Mais Sarina refusa, sous prétexte que les gens de Menethíl avaient besoin d’elle. Puis, elle voulait offrir à ses enfants une vie sûre et paisible. Le lendemain, elle fut couronné gouverneure lors d’une cérémonie prenant place en même temps que la fête de l’eau. Les célébrations durèrent trois jours et à leur fin, la vie revint à la normale. Quelques années de paix suivirent son ascension, quelques années à réparer les erreurs diplomatiques de son ancien époux dans tout Exodia.

Seulement, l’arrivée d’un objet volant non identifiée sur Exodia lors d’une nuit orageuse n’annonçait rien de bon pour ses habitants. Cette période de paix et de prospérité était-elle à présent en danger ? L’on dit que la guerre ne meurt jamais, dans un futur très proche, cet adage pourrait se révéler vrai.


Derrière l'écran :


Salut je suis TC. et j'ai une vingtaine d’années. J'ai découvert le forum grâce à PRD. Je suis un Poste Vacant. Je serai présent à peu près 5/7 et je tiens à dire que le forum est génialissime !
Revenir en haut Aller en bas
Marcus Danvers
Marcus Danvers
₪ Aventures : 366
₪ Emploi : Vice Chancelier

Feuille de survie
₪ Inventaire:
Une main de fer dans un gant de velours, (sarina) Empty
Message# Sujet: Re: Une main de fer dans un gant de velours, (sarina)   Une main de fer dans un gant de velours, (sarina) EmptyJeu 15 Mar - 15:30

Whaouu ma belle en voilà une belle fiche ! Bien construite, bien détaillée et à la hauteur d'une grande gouverneure ! Pour moi c'est une grande validation bien sur :yes: :pirate: :saut:



Tu es validé !





Yess :move: voilà enfin tu as fini ta fiche et nous savons enfin qui se cache sous ta jolie petite frimousse. A présent, à toi le forum et ses merveilles :brille: Tout d'abord, tu dois te rendre sur le Bottin des avatars afin de le déclarer, ainsi qu'ici Listing des effectifs réels et Métiers afin de déclarer ton groupe et ton métier à notre merveilleux staff. Après cette étape, te voilà enfin libre d'aller chercher des amis, des amours ou juste des ennuis par ici :
Liens et de recenser tes rps . Aller hop à toi de jouer :luv:


Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Invité

Une main de fer dans un gant de velours, (sarina) Empty
Message# Sujet: Re: Une main de fer dans un gant de velours, (sarina)   Une main de fer dans un gant de velours, (sarina) EmptyJeu 15 Mar - 15:35

Bienvenue parmi nous :brille:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Invité

Une main de fer dans un gant de velours, (sarina) Empty
Message# Sujet: Re: Une main de fer dans un gant de velours, (sarina)   Une main de fer dans un gant de velours, (sarina) EmptyJeu 15 Mar - 23:42

Ouiiiii notre petite Sarina à bord ! :youpi:

J'ai adoré ta fiche, tout est tellement bien écrit et détaillé ! Elle va faire des ravages en Rp, j'ai hâte de voir notre gouverneur en jeu :num:

Bisous :queen:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Invité

Une main de fer dans un gant de velours, (sarina) Empty
Message# Sujet: Re: Une main de fer dans un gant de velours, (sarina)   Une main de fer dans un gant de velours, (sarina) EmptyVen 16 Mar - 19:48

Sarina, enfin !!!!

Bravo pour ton histoire et ta validation haha :move:
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

Une main de fer dans un gant de velours, (sarina) Empty
Message# Sujet: Re: Une main de fer dans un gant de velours, (sarina)   Une main de fer dans un gant de velours, (sarina) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Une main de fer dans un gant de velours, (sarina)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Flood fiche Sarina 1
» Sarina - RPS
» Départ de Sarina
» PV | Avatar | Sarina
» Sarina - Liens

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Exodus :: Zone morte :: Archives :: Autre-