Exodus
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
Le Deal du moment :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le ...
Voir le deal

Partagez
 

 Esteban García

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant
AuteurMessage
Invité
avatar
Invité

Esteban García Empty
Message# Sujet: Esteban García   Esteban García EmptyMer 21 Mar - 15:55

Esteban García


Charismatque
Infidèle
Débrouillard
Menteur
Jovial
Narcissique

Caractère et Physique


Hey Chicano!  C'était comme ça qu'on appelait Esteban lorsqu'il était plus jeune.  Plus petit et plus mince que ses autres camarades au teint pâle et aux cheveux blonds, il tranchait par sa chevelure noire, sa peau colorée.  Et parce qu'il semblait toujours beaucoup plus jeune que les gens de son âge.  Une identité qu'il a traîné comme un poids toute sa vie d'adolescent jusqu'à ce les ingratitudes de la puberté ne s'effacent pour laisser place à un visage plus séduisant et que quelques séances en salle de musculation ne viennent compléter sa poussée de croissance.  Aujourd'hui, la barbe qu'il porte bien taillée, c'est pour pallier à ce visage qui paraît toujours aussi jeune en-dehors des pattes d'oie au coin de ses yeux et il court sur les réseaux sociaux que la barbe, c'est séduisant.

Si pendant longtemps, il a été du genre à se faire tout petit, ployé sur le lui-même en tentant de se fondre dans le mur, il est devenu avec le temps aussi droit qu'un chêne et sa démarche déborde d'arrogance.  Sa démarche, ses actions aussi.  La popularité, cela lui a rapidement monté à la tête, flattant démesurément son orgueil trop longtemps malmené.  Prétentieux, cela se sent dans tous ses gestes, dans ses paroles.  Parfois même, on pourrait dire qu'il est méprisant, mais il cache bien son jeu derrière ses habitudes de séducteur.  Profitant de son apparence et de son intelligence, il ne s'est jamais retenu de faire tomber les filles entre ses bras, les unes après les autres, parfois même en même temps.  Connard?  Très assurément.

En près de 40 ans d'existence, il y a une chose qui n'a jamais - ou presque - changé : son intérêt pour la gente féminine.  Galant à ses heures, charmant, toujours muni de la bonne blague, un compliment sur le bout des lèvres à tout instant, il sait comment tenir son cercle de jolies dames autour de lui.  Il promet montagnes et océans, un amour éternel, avant de passer à la suivante dans la même nuit.    Bon vivant, il attire naturellement la sympathie des gens et grâce à ses habiles mensonges, il réussit toujours à s'en sortir avec le beau rôle.  Qui pourrait lui en vouloir de profiter de ses charmes?  C'est un hédoniste, disent certains, on ne peut pas le lui reprocher.  Il est si intelligent, elle devait être trop sotte et l'avoir ennuyé.  Et le fait est que, pour toutes ces demoiselles en pleurs suite à la rupture, jamais il n'a éprouvé la moindre compassion, trop occupé qu'il est de sa propre personne et de son succès.

S'il peut paraître parfois insouciant aux yeux des inconnus, lui qui semble toujours prêt à participer à toutes les fêtes qui peuvent avoir lieu, il est étonnamment très sérieux.  Surtout lorsque vient le temps de travailler.  Méthodique et organisé, il a horreur qu'on le dérange quand il est en pleine réflexion.  Minutieux, il a une patience extrêmement extensible - sauf s'il s'agit de femmes qui viennent pleurer sur son épaule - et peut passer des heures sur le même problème jusqu'à ce qu'il trouve enfin une réponse ou une solution satisfaisante.  Bien qu'il ne semble pas du tout l'être, il est extrêmement studieux et beaucoup de son temps libre autrefois était consacré à l'apprentissage.  C'est toutefois son imagination et sa créativité qui lui lui ont permis de se démarquer des autres dans le domaine, lui qui proposait toujours de nouvelles solutions innovantes.




| 40 ans - Exodien - Ingénieur |



Mon histoire :



Brooklyn, 2285.  Le travail avait duré de longues heures pour Carmen Sanchez lorsqu'elle mit au monde son second fils.  La naissance fut un moment inoubliable de la vie de Pedro García son époux qui était tombé dans les pommes dès la première goutte de sang et qu'on avait évacué de la salle d'accouchement rapidement pour ne le ramener qu'une fois que son fils n'aie vu la lumière du jour.  Ou plutôt celle des néons de la salle d'accouchement.  Carlos, l'aîné de la famille García, bambin actif de trois ans avait été envoyé chez la voisine de palier, une vieille dame tout aussi mexicaine que ses voisins et qui appréciait un peu de compagnie humaine parfois, malgré sa colonie ronronnante de chats.  Au sein des gringos, la présence du garçonnet, babillant en espagnol, était un baume sur le coeur de la mamie qu'elle était, elle qui n'avait nulle famille à New York.  Carlos lui ne songeait qu'à l'odeur de naphtaline que dégageait la femme avec quelque dégoût.  Il n'avait pas encore compris qu'un petit frère venait le rejoindre.

Les García avaient emménagé dans ce petit quartier de Brooklyn un an plus tôt.  Partis de la petite bourgade du Mexique où ils avaient toujours vécu, munis de simplement deux sacs et de toutes leurs économies, il avaient pris le chemin des États-Unis pour poursuivre à leur tour le rêve américain.  Seulement, la chance ne leur avait jamais souri.

Pedro était l'heureux propriétaire d'un garage à trois coins de rue du bloc appartement où il vivait, établissement que les rats et les blattes visitaient plus souvent que les humains.  Les affaires ne roulaient pas très bien et ne rapportaient que tout juste assez pour nourrir la famille et payer l'appartement de trois pièces qu'ils partagèrent d'abord à trois, puis à quatre et finalement à six : deux ans après la naissance d'Esteban, Carmen avait mis au monde des jumelles, Sara et Sofia.

À l'école primaire, la famille García était l'une des plus pauvres parmi les plus pauvres familles du quartier.  Là où les autres enfants portaient parfois des vêtements neufs, Esteban héritait de ceux de son grand-frère, qu'il portait beaucoup trop longtemps, ceux-ci étant souvent trop courts et usés jusqu'à en être troués.  Il y avait des Américains, mais la classe était surtout composée d'immigrants qui comme lui vivaient entassés dans de petits appartements.  Pourtant, Esteban avait honte.  Il détestait le logement de ses parents.  Il détestait ses vieux habits qui ne lui allaient pas et dès qu'il eu conscience de ce que l'école pouvait lui apporter, il s'est mis à l'étude avec une détermination de fer.  Parmi les têtes blondes, ses cheveux noirs déteignaient et son intelligence et son amour des études combinés à sa frêle carrure qui donnait l'impression qu'il était petit devinrent rapidement la cible des moqueries.

Là où beaucoup de gens auraient laissé l'intimidation prendre le pas sur leur vie, Esteban ignorait tout simplement.  On lui prenait son argent du dîner et il ne disait rien à personne.  Il n'avait pas de temps à perdre là-dessus.  Ses devoirs terminés, ses pas le menaient à la bibliothèque.  Peu surveillé par ses parents, Pedro toujours au garage et Carmen femme de ménage chez les riches de la ville, il allait et venait à sa guise.  Personne ne se souciait de ce qu'il lisait, ni même de ce qu'il faisait.

Il en fut plus ou moins de même durant ses années de collège.  Plus travaillant que la plupart de ses camarades de classe, toujours aussi mal habillé, les poussées hormonales commençant à faire leurs effets, il était plus ridiculisé que jamais.  Il se perdait encore plus dans ses livres et ses documentaires.  La solitude et le manque d'amis ne lui semblaient pas un problème.  Il n'était pas réellement heureux, mais n'ayant jamais réellement connu mieux, il vivait bien la chose.

C'est une fois au lycée que les choses changèrent pour la première fois.  Le vieil immeuble où il avait grandi avait été détruit.  Les familles y vivant expulsés.  Pedro a vendu son garage pour louer un appartement plus grand et est devenu concierge dans un grand hôtel.  Des rumeurs racontaient que la voisine aux chats avait refusé de libérer son appartement et qu'elle était morte avec ses félins lorsqu'ils ont commencé les travaux de démolition.  Esteban n'avait jamais aimé la vieille et il jetait systématiquement tous les biscuits qu'elle lui offrait après qu'il lui aie dédié son meilleur sourire.  Ce fut la première femme qui eu droit à cette arme fatale.

Toutefois, les choses ne s'arrangèrent pas vraiment après leur déménagement.  L'appartement comptait peut-être désormais quatre pièces, mais ça restait insuffisant pour la famille.  Toutes les fins de mois, les García devaient se serrer la ceinture.  Carlos décida de ne pas aller à l'université et de se trouver un travail de mécanicien.  Esteban le regardait de haut et avec dédain.  Jamais son frère ne se sortirait de la misère.  Il serait le premier de la famille à le faire.  Il redoubla d'efforts.  Premier.  Il visait la première place à l'école et une scolarité parfaite pour toutes ses années de lycéen.  Il irait à l'université.  Il sortirait de ce trou à rats et deviendrait quelqu'un un jour.  On ne l'appellerait plus Chicano.

C'est avec une mention d'honneur qu'il termina ses études d'adolescent et muni d'une bourse qu'il entra à l'université de la Caroline du Sud en génie mécanique.  Désormais loin de sa famille, sa vie allait prendre un tournant radical.

La puberté ayant fait des merveilles, Esteban était devenu beau garçon.  Très beau garçon même.  Carmen, fière d'avoir un fils dans une bonne université lui avait même fait la faveur de lui offrir de nouveaux vêtements.  La garde robe était petite, mais il partit avec une valise remplie de style, loin de ses vêtements troués, vers sa nouvelle vie.  Et c'est à l'université qu'il apprit à quel point les autres pouvaient être tout aussi essentiels que les bonnes notes.  Et que les filles avaient toutes sortes de charmes bons à explorer.  Intelligent, beau, il ne lui manquait plus que les manières pour séduire et elles lui vinrent naturellement comme une seconde peau.  C'était comme si ses nouveaux vêtements et les compliments avaient réveillé en lui un démon qui sommeillait.

Sa première petite amie s'appelait Kate.  Kate Churchill.  Elle était pompom girl pour l'équipe de football et plutôt mignonne.  Ce n'était pas une beauté, pas de celles que tous les garçons s'arrachaient, mais elle était assez jolie pour attiser les ardeurs de quelques prétendants.  Sauf qu'elle avait choisi Esteban et il avait dit oui parce qu'il ne voyait pas l'intérêt de dire non.  Ses parents étaient riches, c'était le moment d'en apprendre un peu plus sur ce monde qu'il voulait rejoindre.  Kate était intelligente, mais pas assez.  Elle faisait sourire Esteban, mais jamais sincèrement.  L'a-t-il aimé?  Oui, un peu, mais comme il aime tout les femmes : jamais pleinement, jamais entièrement et surtout jamais sincèrement.  Deux mois après avoir fréquenté assidument Kate - ainsi qu'avoir testé ses draps - il était vu en compagnie d'une fille du département d'enseignement.  Il ne lui avait pas demandé son nom, ses longues jambes basanées lui avaient semblé une connaissance suffisante pour sortir avec elle.  Elle était idiote et ne servait à rien.  Et il en changea rapidement.  La nécessité de se mêler aux gens étaient venue comme une évidence et il se rendait aux fêtes.  Et comme pour marquer toute la différence entre l'enfant qu'il avait été et l'homme qu'il deviendrait, il avait pour point d'honneur de n'être jamais vue avec la même fille.  Lui qui n'avait jamais beaucoup parlé, malgré sa réputation de coureur de jupons, arrivait toujours à amadouer les filles, même lorsqu'elles n'étaient pas prêtes de se voir séduites.  Devant les plus récalcitrantes, il ne reculait pas, considérant leur conquête comme un défi, un examen pour vérifier sa valeur et il ne laissait tomber qu'une fois la jeune femme amoureuse.  Elles étaient toutes les mêmes au final : peu intéressantes.

Il gradua premier de sa promotion, lui qui continuait à garder des notes excellentes à la surprise de tout le monde comme il était de toutes les fêtes et de ceux qui buvaient le plus.  Loin d'être satisfait, il continua dans un programme de maîtrise en génie biomédical avant de se lancer sur le marché du travail.  Et c'est là qu'il rencontra Emma.  Elle était différente de toutes les filles qu'il avait rencontré.  Jeune étudiante en médecine nucléaire, contrairement aux autres, elle était intelligente.  Très intelligente.  Peut-être même un peu trop.  Quand Esteban cherchait à la séduire, elle l'ignorait.  La plupart de ses conquêtes précédentes, si elles n'étaient pas toutes tombées directement dans ses bras, avaient tout de même montrer des signes de contentement devant les flatteries.  Aux yeux d'Emma, Esteban n'était qu'un frimeur trop beau et trop intelligent pour être digne de confiance.  Être traité avec aussi peu de considération était désagréable pour lui, impensable.  Elle avait peut-être plus de cervelle que toutes les autres filles qu'il avait fréquentées par le passer, mais il finirait par la faire plier et il délaissa toutes ses autres conquêtes du moment pour ne s'intéresser qu'à elle.

Il lui fallut des mois afin d'arriver à conquérir le coeur de sa belle.  Pour la première fois, il ne s'en désintéressa pas dès que ses sentiments furent réciproques.  Elle était jolie et ils devinrent rapidement le roi et la reine du campus.  Les habitudes d'Esteban toutefois n'étaient pas toutes au goût d'Emma qui tentait autant que possible de réduire le temps qu'il passait en boîte.  Elle exigeait de lui qu'il boive moins.  Aimait des sorties qu'il détestait.  Beaucoup de choses tentaient de les séparer, mais ils s'accrochaient.  Il n'y avait qu'avec Emma qu'Esteban pouvait avoir des conversations dignes d'intérêt.  Ils débattaient souvent entre eux, partageaient tellement d'opinions divergentes, mais même au coeur de leurs discussions enflammées, il était heureux de l'avoir auprès d'elle, car il avait enfin l'impression d'être compris.  Un peu.

Ils se marièrent peu après avoir tous les deux terminé leurs études.  Esteban trouva rapidement un travail dans une firme spécialisée dans les machines et installations médicales.  La cohabitation entre lui et son épouse était toutefois difficile.  Lui qui était tourné vers l'idée de se sortir de la misère négligeait beaucoup Emma pour se consacrer à son travail.  Il lui promettait monts et merveilles, elle n'avait qu'à attendre encore un peu, encore un peu et il pourrait prendre plus de temps pour elle.  Prendre soin d'elle.  Brillant, il monta rapidement vers sa première promotion et on commença à l'envoyer à l'étranger.  La compagnie avait de forts partenariats avec l'Allemagne.  Il lui ramenait à chaque séjour souvenirs et cadeaux, mais ce n'était pas assez pour Emma.  Ce qu'elle voulait, c'était qu'il soit présent auprès d'elle.  Pas simplement pour elle, mais aussi pour le bébé.

Et c'est là que tout à dégringoler.  Le bébé.  Était-elle certaine?  Si elle avait espéré que l'enfant les rapprocherait, elle s'était trompée.  Cela les déchira plus encore.  Esteban ne supportait pas la façon dont elle essayait toujours de lui couper les ailes.  Il a fortement suggéré l'avortement.  Elle a refusé.  Les disputes se sont multipliées.  Et un beau matin, il a ramassé toutes ses affaires et il a quitté l'appartement au bras d'une jolie blonde.  Il ne se souvient plus de son nom.  Il avait pris la première femme qu'il avait croisé.  Une Allemande.  L'aventure dura quelques semaines, suffisamment pour qu'Emma demande le divorce pour abandon.

Esteban continua sa vie en enchaînant les petites amies et les conquêtes sans se préoccuper d'Emma.  Y pensait-il parfois?  Peut-être, mais jamais il ne l'aurait avoué. La vie reprenait son cours normal et il oubliait même qu'il avait jamais partagé celle-ci avec quelqu'un d'autre.  Rien ne comptait plus que sa liberté.  Jusqu'au jour où elle débarqua sur le pas de sa porte, Isabella.  Ce n'était pas n'importe laquelle de toutes les filles qui avaient déjà été dans la vie d'Esteban.  Celle-là était plus spéciale que les autres, du haut de ses dix : c'était sa fille, celle-là même pour laquelle il avait quitté sa mère.  Emma avait décidé qu'il était plus que temps que le père et la fille fassent connaissance et elle abandonna la petite aux soins de son père pour une journée.  Puis deux.  Puis une semaine.  Même s'il lui coûtait à l'avouer, il devenait complètement gaga quand il était question de sa fille.  Aucune femme ne pouvait lui voler l'attention de la gamine lorsqu'il l'avait avec elle et il en froissa plus d'une sans vraiment s'en préoccuper : de toute façon, aucune d'elles ne comptait vraiment.

Et alors qu'il envisageait de peut-être se rabibocher avec Emma, de reprendre une vie de famille normale, le projet Exodus se présenta comme un cheveu sur la soupe.  Sollicité pour ses talents, Esteban hésita longuement avant de décider de s'engager pour le projet et sacrifia sa famille à ses ambitions.  Elles le rejoindraient plus tard et à ce moment-là, ils pourraient recommencer à zéro.

Cependant, en 96 ans, les choses avaient bien le temps de changer...

Désormais sur une planète éloignée, le souvenir d'Isabella le hante.  Encore plus celui d'Emma, mais il a décidé, il n'est plus temps de regarder en arrière...

Derrière l'écran :


Salut je suis Dreamzz et j'ai l'âge d'un dinosaure. J'ai découvert le forum grâce à un partenariat, mais Meghan m'a gentiment (ou sournoisement) rappelé votre existence et me voilà. Je suis un Inventé. Je serai présent à peu près 5/7 et je tiens à dire que le forum est vraiment très prometteur j'ai hâte d'installer ma tente comme il faut en bordure!
Revenir en haut Aller en bas
Marcus Danvers
Marcus Danvers
₪ Aventures : 366
₪ Emploi : Vice Chancelier

Feuille de survie
₪ Inventaire:
Esteban García Empty
Message# Sujet: Re: Esteban García   Esteban García EmptyMer 21 Mar - 16:19

Bienvenue sur le forum :mouton: si tu as le moindre soucis Emma et moi sommes là alors n'hésite pas à nous mp.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Invité

Esteban García Empty
Message# Sujet: Re: Esteban García   Esteban García EmptyMer 21 Mar - 16:53

Coucou, bienvenue par ici !
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Invité

Esteban García Empty
Message# Sujet: Re: Esteban García   Esteban García EmptyMer 21 Mar - 17:24

Toutes mes salutations :coucou:

Bienvenue par ici! J'ai hâte de découvrir ce personnage. Un ingénieur, ça promet!

Au plaisir de faire ta connaissance ♥️
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Invité

Esteban García Empty
Message# Sujet: Re: Esteban García   Esteban García EmptyMer 21 Mar - 17:26

Bienvenue sur le forum, en tous les cas, bon courage pour ta fiche au plaisir de découvrir ton personnage :brille:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Invité

Esteban García Empty
Message# Sujet: Re: Esteban García   Esteban García EmptyMer 21 Mar - 17:28

Coucou vous. :brille:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Invité

Esteban García Empty
Message# Sujet: Re: Esteban García   Esteban García EmptyMer 21 Mar - 18:12

Hello ! Encore un exodien ? Ca pullule par ici :what:
Bienvenue l'ingénieur !
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Invité

Esteban García Empty
Message# Sujet: Re: Esteban García   Esteban García EmptyMer 21 Mar - 19:35

Bienvenue petit homme ^_^

Tu as l'air d'avoir un sale caractère, vivement ta fiche que je lise tout ça XD
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Invité

Esteban García Empty
Message# Sujet: Re: Esteban García   Esteban García EmptyMer 21 Mar - 19:45

Bienvenue :brille:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Invité

Esteban García Empty
Message# Sujet: Re: Esteban García   Esteban García EmptyMer 21 Mar - 21:20

Bienvenue parmi nous :coucou:
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

Esteban García Empty
Message# Sujet: Re: Esteban García   Esteban García Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Esteban García

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 3Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant

 Sujets similaires

-
» Esteban García

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Exodus :: Zone morte :: Archives :: Autre-