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 Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus.

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Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus. Empty
Message# Sujet: Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus.   Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus. EmptySam 7 Avr - 23:23

Neissä


Attentionnée
Peureuse
Sensible
Stressée
Vigilante
Angoissée

Caractère et Physique


Sensible > Neissä c’est une âme à fleur de peau. Si elle n’avait pas eu aussi peur de ce monde elle aurait pu devenir une très bonne guérisseuse ou encore apprendre l’art des plantes. Sa sensibilité va de pair avec sa douceur infinie. Lorsque l’on pose les yeux sur elle. Une fois que l’on a fait l’impasse sur cette petite chose apeurée, on peut y déceler la bienveillance. Il n’y a pas l’ombre d’une méchanceté dans ce petit bout de femme. Peureuse > Son passé a fait d’elle cet animal apeuré qu’elle est aujourd’hui. Fut un temps, pas si lointain. Ou c’était pire encore ! Elle fuyait devant le moindre obstacle. Mais un homme lui a appris à regarder et appréhender le monde différemment.  Alors elle essaye chaque jour, l’un après l’autre. D’être plus courageuse et d’avoir un peu plus confiance en elle pour surmonter cette peur profonde ancrée profondément dans son âme. Attentionnée > Elle est dotée de cette qualité recherchée inconsciemment chez certains hommes. Dévouée et loyale, en amour comme en amitié et même à son clan. C’est une jeune femme très attentionnée qui fait souvent passer les êtres qu’elle aime avant elle. Elle aime rendre les gens heureux. Surtout lorsqu’elle les aime. Ce n’est pas son mari qui dirait le contraire, même s’il ne le dirait pas explicitement pour autant. Vigilante > L’insouciance. Elle n’a même pas le souvenir de la définition de ce mot… Fut un temps où elle parcourait seule les étendues vert boisées de la forêt. Mais c’est justement par la faute de son manque de vigilance, ou de jugeote… qu’elle a vécu une histoire qui l’avait traumatisée pour le reste de son existence. Depuis ce jour elle s’était promis que plus jamais, elle ne manquerait de vigilance !




| 25 ans -Trikana - Couturière |



Mon histoire :


5 ans

Sa poitrine se soulève. Son rythme cardiaque est plus rapide qu’habituellement. Elle ne sait pas quoi faire. Les larmes coulent sur ses joues alors que sa voix c’est éteinte à l’instant où les autres femmes du clan l’on mise à part de la couche de sa mère.  Son cœur palpite tellement dans sa poitrine. Elle a peur pour la première fois de sa courte existence. Elle n’a pas peur pour elle, mais pour sa mère. Cette personne qui fait l’entièreté de son monde du haut de ses cinq petites années. Elle aimerait pouvoir faire quelques choses, ne serait-ce que tenir la main de sa mère pour la soutenir. Les cris de sa douleur sa répercutent dans son crâne et ses petites mains ce collent contre ses oreilles pour tenter de ne plus rien entendre. Elle ferme les yeux et force aussi fort qu’elle le peut. A chaque nouveau cri de douleur, elle a l’impression de se perdre, un peu plus … Neissä ouvre à nouveau les yeux et regarde l’entrée de la couche de sa mère. Peu à peu ses mains se desserrent et elle se lève du petit siège en bois où on l’a assise un peu plus tôt.  Elle s’approche doucement, hésitante. Elle n’entend plus rien. Pas même le bruit de pas des femmes qui l’ont sorties de là ! « Maman ? » Sa voix est éraillée par la peur, l’inquiétude et tout un tas de choses qu’elle n’arrive pas à nommer avec son vocabulaire d’enfant. La fillette entend des chuchotements et s’approche encore pour rejoindre sa mère. Elle se retrouve violemment projeter en arrière, ce réceptionnant sur ses fesses et ses mains. Elle a mal, mais elle a appris à ne pas pleurer pour un rien alors elle met la douleur de côté pour se redresser sur ses petites jambes. Ses yeux qui regardent le dos de la femme qui l’a poussé sans même faire attention à elle, qui s’éloigne en tenant quelque chose dans ses bras. Elle s’avance encore et voit le groupe de femmes devant le lit, lui bloquant la vue sur sa mère. En silence elle les contourne et elle tombe sur le visage de sa mère. Elle est faible, blême. Ses yeux bougeaient et Neissä court vers elle pour prendre sa main et se serrer contre elle. « Maman. » Qu’elle chuchote contre elle, la première larme qui pointe sur sa joue, suivi rapidement des autres. « Neissä. » Sa voix est faible. Le regard bleu de sa mère se lève sur elle et un frisson parcours son dos, d’un sentiment qui ne lui plait pas vraiment. « Approche. » La fillette ne se fait pas prier et elle réduit la distance entre elles, serrant le cou de sa mère entre ses bras. Elle sent la main de sa mère dans son dos qui tente une étreinte, mais retombe aussitôt sur la couverture. « Je serais toujours là pour toi. Soit forte et rend notre clan fier de toi. Je t’aime Neiss’ » Et ce fut les derniers mots qu’elle avait eu pour son enfant. Qu’elle avait eu tout court. Sa mère était morte en couche alors qu’elle n’avait que cinq années. Elle n’était pas encore une femme. Et ne saurait probablement jamais comment réellement le devenir…

15 ans

Les feuilles se froissent sous ses pas alors qu’elle s’aventure seule dans cette foret. Sa seule maison depuis le jour de sa naissance. La jeune adolescente a en tête de s’endurcir avant son rituel. Elle veut se préparer à affronter les vélociraptors pour pouvoir ramener l’une de leur griffe le jour J.  Mais elle a beau chercher, elle ne les trouve pas. Ils ne sont pas là où ils devraient être. Il faut avouer qu’elle n’a jamais été très douée pour ses choses… Elle n’est pas une chasseuse. Elle n’est pas faite pour tenir une lame ou une arme dans ses mains. Bien trop gauche, elle manque de ce couper avec à chaque fois ! Elle tourne en rond depuis des heures, fatiguer de poursuive une quête perdu d’avance selon cette petite voix sur son épaule, en opposition à celle qui lui avait dit que ce serait une bonne idée de s’entrainer. Elle s’énerve contre elle-même, au point de ne plus faire attention à ses pieds et de se prendre dans la racine d’un arbre qui dépasse un peu trop. Elle chute tête la première et se foule le poignet en tentant de se rattraper à l’aide de ses mains. Elle a le réflexe de lâcher la lame qu’elle tient dans les mains avant de s’empaler dessus à la fin de sa chute. Elle se redresse en tenant son poignet et s’assoit dans les feuilles. Neissä a envie de pleurer, mais elle retient ses larmes. Elle est loin d’honorer les dernières paroles de sa mère. Elle n’agit pas de la bonne façon pour rendre son clan fière d’elle. Et ça lui brise le cœur, de se dire que sa mère doit être déçue d’avoir eu une fille comme elle. Elle se redresse sur ses jambes et continue de marcher, en tenant son poignet contre son ventre pour le bouger le moins possible.

Le lac teinté de rouge se dresse devant elle et c’est à ce moment-là qu’elle se rend compte à quel point elle a marché. Elle est loin de Sinadù, son ventre crie famine et pire encore, elle meurt de soif. Puisqu’elle est là, cela ne coute rien qu’elle se rafraichisse et s’abreuve avant de repartir en faisant demi-tour. Du moins, elle l’espérait, car elle n’avait jamais vraiment eu le sens de l’orientation non plus… A découvert de la cime des arbres il faisait plus chaud. Assise au bord du lac elle avait retiré temps bien que mal, sa veste pour amoindrir les rayons du soleil sur sa peau. Elle se penchait et plongeait sa main valide dans l’eau, recueillant le liquide dans son creux, ses lèvres rejoignant celle-ci plutôt que l’inverse. L’eau glissant trop rapidement entre ses doigts. Neissä due si reprendre à plusieurs fois avant d’étancher sa soif. « Eh bien, eh bien. Que vois-je ? » La voix de l’homme l’avait fait sursauter. Son regard se posant aussitôt sur l’homme qui n’était pas seul. Ils étaient trois au total et n’avaient pas l’air très fréquentable. Beaucoup plus âgé qu’elle a première vue. Ils s’approchaient d’elle sans aucune hésitation et elle choisit de ne rien dire, les fixant alors qu’ils venaient l’encercler. Son cœur s’était accéléré, cela ne lui disait rien qui vaille, mais que pouvait-elle faire ? « T’es toute seule ma jolie ? » L’homme pose ses mains sur sa taille et regarde les alentours comme pour voir si d’autres personnes aller débarquer. Elle fait un ‘non’ de la tête lorsqu’il la regarde à nouveau. Il faut qu’elle trouve un truc, qu’elle soit maligne ! Mais rien ne lui vient. « Mes amis ne vont pas tarder à me rejoindre. » Il rigole fort, penchant la tête sur le côté. « J’ai presque cru que tu n’avais pas de langue ! Ça te dérange si on te tient compagnie en attendant qu’ils arrivent ? Il serait dommage de laisser un joli p’tit lot comme toi seule au milieu d’nulle part. » Il avance encore d’un pas, et je recule d’un. N’en faisant pas plus pour me tenir à une distance respectable du plus grand des trois hommes dans mon dos. Le sang de Neissä monte dans ses tempes et tambourine. Ça lui fait mal. « Tu t’es fait mal au poignet ? » Il avance encore, elle recule, hésitante pour ne pas être trop proche de l’autre homme, mais il ne lui laisse bientôt plus le choix… car il continue d’avance vers elle tout ne lui parlant. La peur l’empêche de réfléchir pour trouver une solution. Et lorsque des bras se referment autour d’elle, il est trop tard. Elle se souvient encore de leur rire à l’unisson. De la douleur physique qu’elle avait ressentie sous les coups qu’ils lui avaient infligés pour être sûr qu’elle ne puisse de débattre. Mais pire encore, elle se souvenait parfaitement de la douleur de son âme, à l’instant où ils l’avaient souillée, l’un après l’autre. En la retenant, en la forçant… Et jamais elle ne pourrait oublier, leur rire qui raisonnerait chaque nuit, l’une après l’autre dans sa tête. Chaque jour de pluie l’odeur de la terre qui réveille ce cauchemar olfactif. Mais pire encore, le plus encré de tous, cet odeur iodé que portait leurs vêtements, leurs peaux… Ils l’avaient brisé. La réduisant à l’état d’une pauvre chose, apeurée et sauvage…

15 ans - quelques jours plus tard..

Je suis effrayée. Voilà des nuits, des lunes que je ne dors plus. Depuis ce jour au lac Adänae. Depuis ses hommes… Je ne suis plus sortie de chez moi, ma peur de son monde étant devenue plus grand que le reste. Pourtant aujourd’hui je n’ai pas le choix ! Si je veux être reconnue comme une Trikana et ne pas perdre ma place au sein de ce clan, je dois à nouveau l’affronter. Descendre au pied de ses arbres que je m’étais promis de ne plus jamais voir. Mon père m’a donné le couteau avec lequel il avait lui-même attrapé sa griffe de raptors plusieurs années avant. Lorsqu’il avait eu quinze ans comme moi aujourd’hui. J’ai envie de lui dire qu’il ne devrait pas porter autant d’espoir en moi. Qu’il est peu probable que je réussisse mon rituel ! Mais je reste muette.

Je ne suis pas la seule ce jour-là. Nous sommes une dizaine, voire plus. Certains sont heureux d’être là.  Comme ce garçon, Killian, il semble tout excité à l’idée d’affronter les raptors. Je dois bien avouer que je suis envieuse, de se naturel qui a à se mouvoir à travers les arbres, et la façon qu’il a de tenir son arme, mais aussi à la posture qu’il adopte. Lorsque je perds tout le monde de vu, je m’arrête et lève les yeux au ciel. Mon cœur tape dans ma poitrine. Il est désolé, envers ma mère. Ses paroles ont été gâchées… jamais je ne serais aussi forte qu’elle. Jamais je ne la rendrais fière de moi. Je m’écroule au sol et enfuis ma tête dans mes mains pour pleurer. J’aimerais que ma vie soit différente. D’être doté de se courage qui anime les gens de mon peuple. J’ai le sentiment permanent de n’être pas faite pour ce monde. Que ma place n’est pas ici… bien que je ne sais pas vraiment où elle peut bien être…

Voilà des jours que je suis terrée dans cette forêt. Je ne sais pas si tout le monde est déjà remonté avec sa griffe de raptors, mais il est fort probable que je sois la seule à ne pas encore être de retour auprès de sa famille. Et à ce rythme, je vais surement rester ici pour la fin de mes jours ! J’ai bien eu envie de remonter et demander clémence. Mais ce serait faire encore plus honte à mon père. Autant ne jamais remonter et finir par mourir dans un coin de cette forêt, bouffer par l’une de ses créateurs. Enfin, si l’une d’elle voulait faire de moi son déjeuner. Chose qui ne semblait pas être le cas depuis des jours. Même cela je n’étais pas foutue d’en être capable… C’était dire à quel point j’étais insignifiante ! Alors que tout était calme depuis des jours. J’étais tombée nez à nez avec ce vélociraptor et il fallait avouer que j’avais perdu tous mes moyens, déjà qu’ils n’étaient pas bien gros avant. Et sans l’aide de Killian, je ne serais surement jamais remonté vivante, remonté tout cours… Il avait fait preuve d’un courage qui m’avait fasciné. Je ne l’avais vu que peu de temps, mais il avait représenté tout ce que j’aurais voulus être : courageuse, combative et forte ! Sans le savoir, ce jour-là, il avait pris une place toute particulière dans mon cœur.

18 ans

Mon père avait cru qu’avec le temps, en prenant de l’âge je deviendrais plus sociable. Plus avenante aussi avec les garçons de mon peuple. Mais forçait de constater que ça avait été tout le contraire. Plus les années passaient et plus je me renfermais sur moi-même. Les personnes que je fréquentais amicalement ce comptant sur les doigts d’une seule main. Quelques filles, mais aussi quelques garçons. Les premières étant en plus grand nombre que les seconds.  Dans ce même ordre d’idée, j’avais due trouver un métier qui me permettait de rester à l’intérieur de Sinadù et me permettant de ne pas côtoyer trop de monde. C’est ainsi que j’étais devenue couturière. Je faisais mon travail dans mon coin et il était bien rare que quelqu’un me dérange lorsque j’étais occupée à celui-ci. « Neissä j’ai besoin de toi et tes doigts d’or ! » J’avais sursauté en entendant la voix de Killian dans mon dos. Mon esprit bien trop occupé par le travail que j’avais aujourd’hui pour se préparer à une visite improvisée. Avec le sursaut l’aiguille était venue se loger dans la chair de mon doigt, m’arrachant un rictus de douleur accompagné de sa fidèle intonation. « Je t’ai déjà dit de ne pas me faire peur comme ça ! » Pestais-je en fronçant les sourcils, portant mon doigt douloureux jusqu’à ma bouche pour en sucer la goutte de sang qui perlait à l’endroit d’entrée de l’aiguille. Je n’osais regarde le jeune guerrier. Depuis ce jour dans la forêt, où il m’avait aidé pour le rituel du passage. Mon cœur avait tendance à s’emballer en sa présence, me mettant dans un état de stress que je comprenais difficilement. Selon les récits d’amies, je pouvais comprendre que j’étais amoureuse de lui, mais s’était un effet tellement bizarre sur mon âme et mon corps… A tel point que j’accepte parfois qu’il me touche. Une chose bien rare, surtout lorsque la main était une main masculine ! Mais lui, s’était différent, je baissais toujours un peu mes gardes en sa présence. « J’ai besoin que tu raccommodes certaines de mes chemises ! » Je le regardais, mes deux mains serrant l’ouvrage sur lequel je me trouvais. « Je ne suis pas ta couturière personnelle Killian, tu le sais … » Oui il le savait, mais chaque fois, c’est moi qu’il venait voir. Il y allait alors de flatteries, me faisant rougir comme une jeune adolescente. Et il y arrivait à chaque fois. A me convaincre de m’occuper de ses chemises trouées. Ou lorsqu’il avait besoin de nouveaux vêtements. « Tu viens ce soir ? Aller viens, ce sera sympa de t’y voir ! » Je fronce un peu les sourcils, j’hésitais encore à y aller. Ce soir l’un de nos anciens venait compter les histoires de notre peuple, pour les jeunes et les moins jeunes, au coin d’un feu sur la place centrale de Sinadù. J’avais fini par sourire et hocher la tête. Il était repartit en sautillant, était-il vraiment heureux de savoir que j’allais être présente ce soir ? Cette idée m’était tout bonnement impossible. Il ne pouvait pas, du moins pas dans le sens où je me l’imaginais.

La nuit était tombée depuis quelques temps. Il était à présent temps de se rassembler autour du feu où le Ma Agada Otaii se trouvait déjà assis aux côtés du compteur de ce soir. J’avais observé la population présente et n’y avait trouvé mon ami. Je restais dans l’ombre, me disant que je passerais la soirée ici. D’ici je pouvais voir sans être vue, et je pouvais également entendre parfaitement les voix qui s’élevait dans la nuit. « Te voilà enfin ! » Je sursautais en entendant la voix de Killian dans mon dos. Il s’avançait en avant, visible de tous. Le crissement des feuilles dans mon dos m’avais fait me retourner pour poser mon regard sur Leif, le meilleur ami du jeune guerrier. Mon regard le détaillait dans la pénombre, le feu crépitant un peu plus loin révélant presque uniquement la couleur de ses iris, dans lesquelles se dessinaient les flammes. Ainsi encerclé par les deux amis, je me sentais mal à l’aise. Mais je n’en dit rien. « On ne va pas rester là, allons-nous asseoir plus près ! » Mon cœur se serrait à cette idée. Il me confrontait sans véritablement le savoir à ce qui me faisait peur. Au monde, à la foule… Il s’avançait se tournant un peu vers moi pour m’inciter à le suivre. Je me retournais vivement en sentant une pression s’exercer sur mon coude. Mes yeux rencontrent ceux de Leif et je fronce un peu les sourcils avant de m’engager à mon tour. Je m’avance à la suite du brun et m’assois à ses côtés. Leif qui s’installe à ma droite alors que j’aurais pensé qu’il se mettrait aux côtés de son meilleur ami. Le silence se fait et les deux hommes s’avance devant moi, lorsqu’ils ont besoin de s’échanger quelques mots. Je me recule chaque fois, en tentant de mettre une distance entre leurs visages et mon buste. Autant que cela m’est possible ! Au fur et à mesure des histoires, je me détendais un peu, oubliant presque la présence des deux hommes à mes côtés. A force d’être assise depuis des heures, je sentais la tension de mon dos, me faisant souffrir après une journée de travail et a présenté une bonne partie de la soirée sans dossier contre lequel me reposer. Je me redressais tentant d’étirer mes vertèbres vers le haut. Mes mains que je posais de chaque côté de mes cuisses comme une aide. Sous la droite je sentais une chaleur perturbante et je baissais le regard pour me rendre compte que mes doigts avaient rencontré ceux de Leif. J’avais levé la main aussitôt comme si une aiguille m’avait piqué. « Je suis désolée. » Avais-je lâché en regardant le jeune homme, sans pour autant vraiment le regarder. Mon regard était fuyant et j’étais soudain mal à l’aise. Je me pinçais les lèvres. « Il se fait tard, je vais me coucher. » Et sur mes mots, je m’étais levée pour fuir, même si l’histoire n’était pas terminée. Il fallait que je rentre. C’était déjà bien assez pour aujourd’hui.

19 ans

Je ne m’étais pas encore faite à cette nouvelle vie. Avec lui. Je n’avais connu que la vie avec mon père et voilà que je partageais celle d’un autre homme. Voilà une année que Leif me tournait autour, une année riche en émotion. Une année qui m’avait permis, grâce à lui à prendre confiance. A la fois en moi et en lui. Surtout en lui. Je ne pouvais pas dire que ma peur des hommes avait disparue, loin de là, mais j’avais moins peur, surtout de lui. J’avais appris à le connaitre petit à petit et sa patience m’avait encouragée. Plus encore ce jour où son impatience avait réveillé ma peur et où terrifiée, je lui avais raconté mon histoire. Une histoire que j’avais gardé toutes ses années sans jamais expliquer à qui que ce soit l’origine de mes peurs, de mes cauchemars, de cette panique permanente en moi. Son regard sur moi, j’avais l’impression qu’il avait changé ce soir-là. Comme s’il avait enfin été en mesure de comprendre une chose qui lui était floues jusque-là. J’avais eu peur, qu’il me prenne en pitié et qu’il finisse par s’éloigner de moi. Pour une autre qui aurait surement été moins fragile, moins abimée… Pourtant j’étais là, dans ce qui était devenu notre foyer, assise sur cette couche qui était devenue la nôtre. Assise en tailleur sur la couverture, je laissais aller l’arrière de mon crâne contre le mur de bois, l’odeur du feu qui se consume dans la pièce à côté. Le bruit de ses pas alors qu’il fait je ne sais quoi avant de venir me rejoindre pour terminer cette énième journée. N’entendant plus aucun bruit, j’ouvre les yeux. Il est là, à me regarder dans l’encadrement de la porte, un sourire qui se dessine sur ses lèvres. Un sourire qui me donne aussi envie de lui sourire. « Quoi ? » Demandais-je alors en ne bougeant pas. C’est palpable, cette chose qui flotte dans l’air. Je suis soudain prise d’une certaine vérité. Il est évident depuis le début de notre histoire que c’est lui qui m’a choisi, alors que j’étais amoureuse de son meilleur ami. Pourtant, je sens mon cœur sous ma poitrine qui se met à battre un peu plus fort lorsqu’il a ce regard sur moi. Je ne l’ai peut-être pas aimé dès les premiers instants, mais le temps à fait les choses biens, et lui aussi. J’admire la patience dont il a fait preuve avec moi. Je lui suis reconnaissante du temps qu’il a pris pour essayer d’adoucir mes peurs face à ce monde qui nous entoure. « Rien. » Dit-il dans un souffle mélangé à un rire. Je fronce un peu les sourcils tout en souriant, me redressant alors qu’il s’approche et vient s’asseoir sur le bord du lit. Je sens à cet instant, j’ai l’impression d’avoir fait la paix avec cette partie de moi et de ma vie. L’idée qui m’avait effleurée l’esprit à l’instant où mes yeux avaient rencontré sa silhouette en s’ouvrant, me semble enfin envisageable. Même s’il reste un peu de peur, là au fond, je sais que je peux avoir confiance en cet homme et qu’il ne me fera pas de mal. Je me redresse m’approchant dans son dos et mes mains restent en suspens quelques secondes, hésitantes. Et puis prenant une grande inspiration pour me donner le courage nécessaire, mes doigts rencontrent sa peau nue. Caresse douce contre ses épaules à l’endroit où se trouvait son vêtement quelques secondes avant qu’il ne le retire. Il se fige et tourne la tête un peu vers moi, me regardant de côté. Je laisse aller mes doigts sur lui, m’approchant encore jusqu’à ce que mon ventre se colle à son dos et mes bras s’enlacent autour de lui, mon visage que je viens nicher dans son cou. Mon cœur bat si vite dans ma poitrine qu’il me semble impossible qu’avec cette proximité il ne finisse pas par l’entendre. D’un naturel timide et pudique, il doit être surpris de cette soudaine marque d’affection que je lui porte. Mais je ne sais pas comment lui faire comprendre autrement, que je suis prête. Pour cette vie à deux. Pour lui et pour cet amour qui s’engouffre dans mon âme, un peu plus chaque jour à ses côtés. Il se tourne doucement vers moi et m’embrasse, gardant ses lèvres contre les miennes tout en m’allongeant sur le dos. Lorsque ses lèvres me quittent, il me regarde en s’appuyant d’une main pour ne pas m’écraser sous lui. Son regard me demande la permission et d’un sourire, mes lèvres viennent aux siennes. L’embrassant avec un peu plus de fougue. Il se colle à moi se laissant emporter dans une passion que je lui ai déjà connu, mais que j’avais retenue. Mais pas cette fois ! J’étais enfin prête, pour lui.

25 ans

Le ciel s’était assombri. J’avais bien vu la lumière décliner, mais c’était beaucoup trop d’un seul coup pour que ce soit naturel. J’avais posé le vêtement que j’étais en train de confectionner pour sortir observer le ciel. Et l’image qui s’affirmait à moi me glaçait le sang. Qu’était cette chose au-dessus de nos têtes ? Je n’avais jamais vu une chose pareille ! L’agitation s’intensifié dans les rues de Sinadù alors que j’avais pris le chemin de la forge pour rejoindre Leif. J’avais stoppé mon chemin sur la place centrale alors qu’Eymrin venait d’y apparaitre. Il allait prendre la parole et tout le monde s’était stopper pour le regarder et l’écouter. Une main était venue se glisser sur mon épaule, me faisant frissonner. J’avais levé le regard, mes pupilles venant à la rencontre du visage de mon mari. Instinctivement j’avais collé mon dos contre lui, regardant notre Ma Agada Otaii qui prenait enfin la parole. Il ne savait pas plus que nous se qu’était cette chose dans notre ciel et nous appelait à la prudence, mais aussi à ne pas faire de choses stupides. Il allait demander un rassemblement des clans au plus vite pour discuter de comment agir avec cet oiseau de fer. Mon cœur s’était alors serré, réveillant en moi cette peur profonde. Tous les clans… cela voulait aussi dire les Orcitàns ! Plus d’hommes Orcitàns allaient fouler de leurs pieds notre foret. Sans m’en rendre compte j’avais saisi la main du blond dans la mienne, comme pour m’accrocher à quelque chose de rassurant. Je ne savais pas ce qui m’effrayé le plus… cette chose dans notre ciel, où que le peuple que je redoutais le plus soit invité chez nous. J’espérais seulement qu’ils ne seraient pas autorisés à venir dans Sinadù et qu’ils seraient forcés de rester au pied des arbres. Et moi qui pensais que les Dieux m’avaient déjà donné suffisamment d’épreuves. J’avais visiblement tort…


Derrière l'écran :


Salut je suis Oxalys et j'ai 27 ans. J'ai découvert le forum grâce à Kathee. Je suis un Inventé. Je serai présent à peu près 5/7 et je tiens à dire que le forum est Encore plus fun qu'à mon arrivée.
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Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus. Empty
Message# Sujet: Re: Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus.   Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus. EmptySam 7 Avr - 23:28

Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus. Giphy

T'ES LÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀ ! :brille: :héhé: :mouahaha: :hihi: :love: :num: :keuur:

Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus. Giphy

La feuille va plus jamais laisser sa femelle :num:

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Bienvenue officiellement sur le fofo avec cette belle Neissä !!!
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Message# Sujet: Re: Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus.   Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus. EmptySam 7 Avr - 23:38

Re-bienvenue :brille:
J'ai jamais vu un titre de sujet ausis long :mdr:
Je ne te dis pas courage pour ta fiche :ah1:
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Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus. Empty
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Hihhihihihihihhi bienvenue avec ce perso tant attendu :brille: :brille:
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Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus. Empty
Message# Sujet: Re: Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus.   Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus. EmptySam 7 Avr - 23:41

/s’accroche a son mari comme un Koala/
Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus. Tumblr_o9edzx6YmD1u8npcdo1_400

OOUUUUUIIII JE SUIS LA !!!!!!!
Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus. Tumblr_odhmveosZ01s7hhyjo1_500

Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus. Tumblr_oi03bhH9aR1v9tamfo1_500

Et j'finirais par :
Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus. Tenor

MON MÂLE :love: :love: :love: :love:




MERCI A VOUS TOUT LES AUTRES J'VOUS NEM AUSSI :mouton:
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Message# Sujet: Re: Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus.   Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus. EmptySam 7 Avr - 23:50

*toussote* ahem ahem *trop intimidé*

Bienvenue ma belle-soeur :rose:

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Message# Sujet: Re: Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus.   Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus. EmptySam 7 Avr - 23:52

Merci mon beau-frère :calin:
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Message# Sujet: Re: Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus.   Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus. EmptySam 7 Avr - 23:53

:brille: re-bienvenueee Neissä !!

J'ai adoré ta fiche ! Ta façon d'écrire c'est toujours Whaou !! Pauvre petite Neissä on a envie de lui faire un gros câlin :calin: !
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Message# Sujet: Re: Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus.   Neissä - L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus. EmptySam 7 Avr - 23:56

Bah rebienvenue Captain Sandoudou mdr et je te souhaite bonne chance avec ce super personnage ♥️
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